Année
|
Vue
|
Sujet
|
1658
|
291
|
Inhumations dans l’église à cause du froid, "la gelée ayant empesché d’ouvrir le cimetiere" |
1659
|
293
|
Inhumation d’un homme décédé de langueur |
1659
|
293
|
Sépulture d’un aveugle |
1660
|
293
|
Inhumations dans l’église à cause du froid, "le cimetiere n’ayant pu estre ouvert" |
1686
|
78
|
Concessions de bancs et bancelles dans l’église |
1691
|
199
|
Sépulture d’un centenaire (104 ans) |
1706
|
143
|
Mort d'une passante inconnue et de ses nouveau-nés jumeaux |
1710
|
8
|
Inhumation d’une mendiante qui revenait du pèlerinage de Saint-Méen |
1724
|
101
|
Assassinat d’un lieutenant des gabelles |
1731
|
54
|
Inhumation d’un mendiant inconnu |
1755
|
225
|
Tenue des registres |
1762 | 74 | Mariage qui a été invalidé, la fille ayant un premier mari vivant |
1768
|
110
|
Noyade due aux inondations |
1768
|
115
|
Bénédiction de la grosse cloche |
1779
|
182
|
Épidémie de dysenterie |
1779
|
183
|
Visite épiscopale et confirmation par l’évêque du Mans |
1791
|
54
|
Bénédiction de la grosse cloche |
Ses parents le destinaient à entrer dans l'ordre de Malte, auquel sa naissance lui donnait des droits ; mais sa vocation était déterminée pour l'état ecclésiastique.
Il entra en 1648 au séminaire des Oratoriens de Saint-Magloire, sous les auspices du père Jean-Francois Senault. Il n'avait que dix-huit ans lorsqu'il prononça son premier sermon. Le 6 mars 1666, il prononça l'oraison funèbre d'Anne d'Autriche, Infante d'Espagne, Reine de France et mère du Roi, dans l'église des Martyrs à Montmartre. Les succès qu'il obtint dans les principales chaires de la capitale lui firent prêcher à la cour l'avent de 1672 et le carême de 1680. Bossuet, Bourdaloue, Fléchier, étaient alors les modèles classiques dans ce genre d'éloquence. Fromentières se fit remarquer.
Nommé à l'évêché d'Aire* en 1673, il ramena plusieurs calvinistes au sein de l'Église catholique, convertit un gentilhomme depuis longtemps fameux par ses crimes, et vint à bout de faire abolir les combats de taureaux. Fromentières, sentant approcher sa fin avant d'avoir eu le temps de revoir ses discours, défendit qu'on les imprimât après lui.
Ils furent néanmoins publiés l'année même de sa mort, survenue en 1684; on y trouve des oraisons funèbres, des panégyriques et des sermons.
*Aire-sur-l'Adour, département des Landes.
Le 31 mars 1933, le pape Pie XI transféra le siège épiscopal d’Aire à Dax sous le nom obligatoire, et non plus facultatif, de diocèse d’Aire et Dax. L'église Sainte-Marie de Dax devint cathédrale et la cathédrale Saint-Jean-Baptiste d'Aire devint simple co-cathédrale.
Sources: Alexandre Maral. La Chapelle royale de Versailles sous Louis XIV ; Wikipedia.
Jean-Baptiste-Amédée George de La Massonnais, dit Georges-Massonnais (né le 17 avril 1805, Saint-Denis-de-Gastines - décédé le 20 décembre 1860, Périgueux), est un prélat français, évêque de Périgueux et de Sarlat.
Famille
La famille George de La Massonnais est une famille aristocrate originaire du Maine. Elle avait acquis par mariage en 1670, la terre de La Massonnais dont elle a gardé le nom. 1. Antoine-Louis-Urbain George de La Massonnais (1754-1805), était bourgeois de Saint-Denis-de-Gastines (Mayenne).
Biographie
Fils de Antoine-Louis-Urbain George de La Massonnais et de Michelle Françoise Lefebvre de Cheverus, il est le neveu du cardinal de Cheverus. Il termine ses études au séminaire de Saint-Sulpice et est ordonné prêtre de Bordeaux en 1829.
Louis POISSON (né en 1899), écrit une chanson sur sa commune natale lors de son service militaire 1919/1920 à Saint Germain-en-Laye, fils de Émile Louis POISSON (1872-1935) et Marie GESBERT (Épicier à Saint Denis de Gastines.
La chanson de Louis POISSON reprend de nombreux noms de villageois et de leur métier. Ce texte somme toute original, est le reflet de l'activité de la commune de Saint Denis de Gastines, juste après le terrible conflit que fût la première guerre mondiale de 1914-1918, et à l'aube des années folles (1920-1930).
Louis POISSON au service militaire (vers 1920)
22 enfants en 2 mariages - St Denis de Gastines (53)
Pierre Gandon (généalogie) s'est marié le 27 mai 1877à Saint Denis de Gastines. Son épouse Françoise Bourcelet (généalogie) est décédée le 18 juillet 1888 à Saint Denis de Gastines, soit 11 ans plus tard à l'âge de 41 ans après lui avoir donné 9 enfants.
Le 9 août 1891, à 42 ans, il se remarie avec une jeune fille de 16 ans à qui il fait ... 13 enfants en 23 ans.
Et pour la petite histoire, dans les deux mariages, le premier enfant est arrivé 5 mois 1/2 et 3 mois après les noces ...
Pierre Gandon , journalier, cultivateur et son épouse Marie Louise Perret (généalogie) décèdent après 1921.
37 années séparent le premier enfant et le dernier.